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mercredi 14 octobre 2020
vendredi 7 février 2014
LA COUPE SIMPLE
La représentation graphique
LA COUPE SIMPLE
Une coupe ou vue en coupe est une représentation permettant une meilleure définition et une compréhension plus aisée des formes intérieures d’un ou plusieurs composants.
PRINCIPE D’UNE COUPE SIMPLE
ÉTAPE 1 : choisir un plan de coupe (P)
ÉTAPE 2 : Couper la pièce suivant (P)
ÉTAPE 3: Supprimer la partie de la pièce entre l’observateur et (P)
ÉTAPE 4 : Projeter la partie observée sur le plan (P)
Les surfaces coupées sont représentées par des … HACHURES … (traits fins).
Afin de faciliter la reconnaissance de la famille de matière d’une pièce, on peut employer des types de hachures spécifiques. Ci-dessous
les types de hachures des catégories de matières fréquemment rencontrées en construction mécanique :
RÈGLES A RETENIR
• Les hachures représentent LES ZONES DE MATIÈRE … COUPÉE .• Les hachures sont représentées en trait continu fin oblique (30°, 45°, 60°, …)
• Les hachures ne traversent jamais un trait fort..
• Les hachures ne s’arrêtent jamais sur un trait interrompu fin (contour caché)
VUE EN COUPE
- Tracé du plan de coupe : En trait mixte fin muni de 2 traits forts aux extrémités
- Indication du sens d’observation : Deux flèches perpendiculaires au plan et dirigées vers la vue en coupe à obtenir.
- Désignation du plan de coupe : Deux lettres majuscules à chaque extrémité
- Désignation de la vue en coupe : Les deux lettres majuscules de désignation du plan de coupe
- Transformer la vue en coupe (Contours et arêtes visibles)
- Hachures représentant les zones coupées (traits continus fins)
vendredi 25 octobre 2013
GRAFCET
Partie 2
3. Liaisons orientées
Les liaisons orientées permettent de relier les étapes aux transitions et inversement. Le sens général du parcours est du haut vers le bas. Lorsque le parcours est différent des flèches sont nécessaires.
II.Règles d'évolutions
Introduction
Aux règles d'écriture s'ajoutent les règles d'évolution afin de préciser les conditions pour lesquelles les étapes sont actives ou inactives.
Règle.1: Initialisation
La situation initiale caractérise le comportement initial de la partie commande vis - vis de la partie opérative et correspond à l'étape active au début du fonctionnement.
Elle traduit généralement un comportement de repos
Le symbole est le double carré:
Règle 2: Franchissement d'une transition
Le franchissement d'une transition s'effectue si:
- l'étape précédente est active
- la réceptivité associée est vraie
Lorsque ces deux conditions sont réunies, la transition devient franchissable et est obligatoirement franchie.
Le franchissement d'une transition entraîne simultanément l'activation de toutes les étapes immédiatement suivantes et la désactivation de toutes les étapes immédiatement précédentes.
Exemple :
Cas 1: La transition 1-2 est non validée, l'étape 2 étant inactive.
Cas 2: L'étape 1 étant active, la transition 1-2 est validée mais ne peut être franchie car la réceptivité n'est pas vraie: b=0.
Cas 3: La transition 1-2 est franchie car la réceptivité est vraie :b=1. Dans ce cas l'étape 2 est activée et l'étape 1 est désactivée.
III.Structures de base
Le début du Grafcet est constitué d'une suite d'étapes qui peuvent être activées les unes après les autres. Cette suite d'étapes est appelée une séquence unique.
Chaque étape n'est suivie que par une seule transition et chacune d'elle n'est validée que par une seule étape.
La séquence est dite active si au moins une des étapes est active. Elle est dite inactive si toutes les étapes son inactives.
Différents points de vue d'un GRAFCET :
La représentation d'un système automatisé par un grafcet prend en compte le "point de vue" selon lequel l'observateur s'implique au fonctionnement de ce système. On distingue trois "points de vue" :
- GRAFCET du point de vue système ;
- GRAFCET du point de vue partie opérative ;
- GRAFCET du point de vue partie commande.
C'est un graphe qui décrit le fonctionnement global du système. Il traduit le cahier des charges sans préjuger de la technologie adoptée. Il permet de dialoguer avec des personnes non spécialistes (fournisseurs, décideurs ...) Son écriture, en langage clair, permet donc sa compréhension par tout le monde.
2. GRAFCET du point de vue partie opérative :
Dans ce type de grafcet on spécifie la technologie de la partie opérative ainsi que le type de ses informations reçues (ordres) et envoyées (comptes-rendus). L'observateur de ce point de vue étant un spécialiste de la partie opérative, la partie commande ne l'intéresse que par ses effets.
3. GRAFCET du point de vue partie commande :
Dans ce type de grafcet on spécifie la technologie de la partie opérative ainsi que le type de ses informations reçues (ordres) et envoyées (comptes-rendus). L'observateur de ce point de vue étant un spécialiste de la partie opérative, la partie commande ne l'intéresse que par ses effets.
3. GRAFCET du point de vue partie commande :
Ce grafcet est établi en spécifiant la technologie des éléments de dialogue :
- entre PC et PO ;
- entre PC et opérateur ;
- entre PC et autre système.
C'est un grafcet établi par un spécialiste, c'est la version qui lui permet d'établir les équations et éventuellement les schémas de réalisation (électrique, pneumatique ...)
Partie 1
GRAFCET
Partie 1
Introduction
Un GRAFCET(GRAphe Fonctionnel de Commande Etape-Transition) est un mode de représentation et d'analyse d'un automatisme. C'est un outil graphique de description du comportement de la partie commande. Il décrit les interactions informationnelles à travers la frontière d'isolement : partie de commande, partie opérative d'un système isolé.
Ce mode de représentation est indépendant de la technologie utilisée dans l'automatisme, et traduit d'une façon cohérente le cahier de charge de l'automatisme.
I.Règles d'écriture du Grafcet
Introduction
Le GRAFCET est constitué:
1. d'éléments graphique de base:
- les étapes,
- les transitions,
- les liaisons orientées reliant entre elles les étapes et les transitions, structurés en un réseau alterné formant l'ossature (squelette) séquentielle graphique.
2. d'une interprétation traduisant le comportement de la partie commande vis-à-vis de ses entrées et de ses sorties, interprétation caractérisée par:
- les actions associées aux étapes,
- les réceptivités associées aux transitions
3. de règles d'évolution définissant formellement le comportement dynamique de la partie commande ainsi décrite.
1.Étapes et actions associées
a. ETAPE
Une étape correspond à une situation du système automatisé dans laquelle le comportement de la partie commande est stable vis à vis de ses entrées et ses sorties. Une étape est symbolisée par un carré repéré numériquement. Une étape, à un instant t, peut être active ou inactive. Ce repérage peut se faire à l'aide d'un point placé sous le chiffre.
L'étape initiale ou toute étape initialement activée est repérée par un carré double.
b. ACTION
Une ou plusieurs Actions élémentaires ou complexes peuvent être associées à une étape. Les actions associées à une étape traduisent ce qui doit être fait si l'étape est active.
Les actions qui sont les résultats du traitement logique des informations par la partie commande peuvent être :
- externes et elles correspondent aux ordres émis vers la partie opérative ou vers les éléments externes.
- internes et concernent des fonctions spécifiques de l'automatisme telles que : temporisation, comptage, etc ..
Les actions sont précisées dans un ou plusieurs rectangles :
N.B: On utilise toujours dans les actions les verbes à l'infinitif: allumer la lampe mais pas allumage de la lampe.
2.Transitions et réceptivités associées
a. transition
Une transition indique la possibilité d'évolution d'une étape à l'étape suivante. Le passage de l'une à l'autre s'effectue par le franchissement d'une transition.
Une transition est soit validée soit non validée. Elle est dite validée lorsque toutes les étapes immédiatement précédentes reliées à cette transition sont achevées.
Une transition entre deux étapes se représente par une barre perpendiculaire aux liaisons orientées.
NB: Il n'y a toujours qu'une et qu'une seule transition entre deux étapes, quel que soit le chemin parcouru.
b. réceptivité
A chaque transition est associée une proposition logique appelée réceptivité qui peut être soit vraie soit fausse.
La réceptivité écrite sous forme de proposition logique est une fonction combinatoire:
- d'informations externes provenant de la partie opérative ou du poste opérateur,
- d'informations internes en rapport avec les fonctions spécifiques de l'automatisme (temporisation, comptage), ou les états actifs ou inactifs des autres étapes.
EXEMPLE :
REMARQUE :
Les notations a↑ ou a↓ sont employés lorsque la condition de réceptivité est liée au changement d'état variable.
a↑: front montant de a, a↓: front descendant de a. (Ces notations sont utilisées nécessaire lors d'utilisation des dispositifs électroniques)
COMPLÉMENT : Réceptivité Temps
COMPLÉMENT : Réceptivité Temps
Pour faire intervenir le temps dans une réceptivité, il suffit d'indiquer après le repère t son origine et sa durée.
t/1/10s: passer à l'étape 2 si 10s sont écoulées depuis la dernière activation de l'étape 1.
t/1/15s: passer à l'étape 3 si 15s sont écoulées depuis la dernière activation de l'étape 1.
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